Burgers de veau et sa relish vaudou

Il était à peu près temps que je vous parle du bouquin Le Livre Napoléon des hamburgers de Ted Reader! J’ai remporté ce livre paru chez Modus Vivendi à l’occasion du jeu organisé par Isabelle, mais je n’avais pas de propane pour mon barbecue, ce qui explique pourquoi je n’avais pas encore posté de billet pour en parler. Parce que des recettes à essayer, il y en a une panoplie. Du burger à l’américaine cochon à se mettre tout de suite sur une liste d’attente pour un triple pontage, aux burgers chics cuits à la planche de cèdre, aucune recettes ne me laisse indifférent. Je n’irai pas jusqu’à mettre des cubes de beurre dans mes boulettes avant de les cuire, mais vous verrez plusieurs recettes de ce livre cet été. Mon premier essai? Un burger de veau assaisonné, servi avec une relish de piments et poivrons que j’ai adorée! Il n’y avait pas de vinaigre, mais j’en ai ajouté un peu parce que j’aime l’acidité qu’il apporte. Aussi, dans la recette de Ted Reader les boulettes sont noircies façon sud des États-Unis (couvertes d’épices qu’on laisse noircir à chaleur intense), mais j’ai sauté cette étape… et je vous recommande de le faire aussi pour ne pas obtenir des boulettes trop salées puisque l’assaisonnement proposé dans le mélange de veau suffit amplement.

Carré de porc thym et citron

L’autre soir, quelque chose de terrible est arrivé! Le carré d’agneau que j’avais fait décongelé n’était plus bon. Je l’ai su immédiatement en ouvrant le paquet. Pas besoin de vous faire un dessin, je n’avais plus du tout envie de le cuisiner. Donc, MonChéri est parti en expédition en vitesse, à 18h00, pour trouver un quelque chose pour le souper. Avec une conversation confuse et absurde au téléphone pendant laquelle il fut question de côtelette de veau que je devais cuisiner (?!?) et de côtelette de plein d’autres choses. MonChéri est un illettré de la cuisine. Je lui pardonne puisqu’il s’est magnifiquement bien occupé de sa tâche en me rapportant un dodu carré de porc. Donc voilà, mon carré d’agneau transformé, que j’ai servi avec une caponata et des pommes de terre sautées thym et citron.

Sandwichs glacés avoine et caramel

Magnifique recette Frankenstein que je vous présente aujourd’hui! Bien sûr, j’ai encore une fois mis à plus tout à fait nouvelle sorbetière à profit pour préparer une magnifique glace caramel au beurre salé, signée David Lebovitz. Attention, nous parlons (j’utilise le nous royal, parce que c’est vraiment important ce que je vais dire) ici d’une vraie glace au caramel, fait avec du sucre qui fond puis qui brûle presque. Il y a donc une petite amertume conférée par le processus, ne venez pas vous plaindre que ça ne goûte pas comme le caramel Grenache! Intrigué par le commentaire de David qui mentionnait du pralin d’avoine, j’ai fait quelques recherches pour une recette, que j’ai décidé de modifier pour ajouter aussi des pacanes. Finalement, qui dit avoine dit aussi que j’ai envie depuis des lustres de faire la recette de Nathalie, mais sans le chocolat. Je n’ai ni la patience ni l’habileté nécessaire pour que l’aventure se termine autrement que dans d’amères larmes de déception. Je m’entends déjà hurler. Non, merci. Alors, voici ma petite création, et un moment culte de l’histoire du cinéma en prime!

Caponata

Je paresse un peu côté blogue depuis quelques semaines, c’est que la météo m’invite à jouer dehors, et j’accepte! Vélo, hiking, marche, lecture sur le balcon… Je cuisine peu et je maximise les restes! Il y a quand même de limites à tout par contre… Alors, je vous présente un petit quelque chose sympathique, vite fait, bien fait. La caponata, spécialité d’origine sicilienne, est un sauté d’aubergine, avec du céleri et d’autres légumes, au gré des recettes. Je vous confie la mienne, avec son côté aigre-doux et le croquant du céleri légèrement blanchi. Ce soir, j’ai servi les tranches de carré de porc dessus, ça faisait une alléchante combinaison! Pour des usages moins carnivores, voir à la fin!

Choux fleur au BBQ inspiration Antoine Sicotte

Ceux qui suivent mes gazouillis dans le vide sur Twitter savent que j’ai participé à un 5 à 7 mercredi dernier. Le premier de mon histoire de blogage, j’ai reçu l’invitation comme une nomination aux Oscar. Je ne me suis quand même pas acheté de nouveaux souliers, mais j’ai mis une chemise presque neuve, ma nouvelle casquette et j’ai montré mon tattoo, comme Antoine Sicotte qui s’occupait de la partie animation. Faisait beau, faisait chaud, faisait soif. La terrasse intime et bien aménagée du Loft Hotel se prêtait parfaitement à l’événement, la sangria et le vin se buvaient très agréablement et j’ai eu l’occasion de papoter quelques instants avec des blogueurs, dont Madame Carrée, Emeric et une fille charmante dont j’ai oublié le nom que je n’ai pas réussi à écrire dans mon iPhone, à cause de tout l’énervement.