Fidèle à mes habitudes de presque vrai maniaco-dépressif, et dynamisé par MonHobi qui a une envie folle que je recommence à entretenir mon blogue depuis qu’il a commencé ses études en pâtisserie, j’effectue un retour dans les internet. N’ayant pas plus de talent de photographe que l’année dernière, je vous invite encore à la clémence, et surtout à me faire confiance: ce n’est pas parce que c’est laid que c’est mauvais!
Pour 4 portions, 20 minutes de travail
- 500 gr de haut de cuisse de poulet désossés, sans la peau, en lanières de 1cm
- ¼ de tasse de fécule de maïs
- 2 c. à café d’huile de canola
- 2 c. à café d’huile de sésame grillée
- 4 oignons verts entiers, en tronçons de 2.5cm
- 4 gousses d’ail, finement hachées
- 1 c. à café de piments secs broyés
- 1 rondelle de gingembre frais de 2.5 cm d’épaisseur, finement hachée
- 1/3 de tasse de sauce tamari
- 1/3 de tasse de vinaigre de riz
- 2 c. à soupe de sucre fin
- 1/3 de tasse d’arachides rôties à sec, non salée
- Poivre sichuanais, au goût
- Mettre le poulet et la fécule de maïs dans un sac de plastique refermable, et bien secouer pour enrober le poulet.
- Chauffer à feu vif 1 c. à café d’huile de canola et d’huile de sésame dans une sauteuse antiadhésive ou un wok.
- Faire sauter le poulet jusqu’à ce qu’il soit bien doré et complètement cuit, puis le réserver dans un assiette.
- Ajouter le reste de l’huile et faire sauter les oignons verts, l’ail, le piment et le gingembre environ une minute, jusqu’à ce que les oignons verts aient légèrement flétri.
- Dans un petit bol, mélanger la sauce tamari, le vinaigre et le sucre jusqu’à ce que le sucre soit complètement dissous.
- Verser d’un coup dans la poêle. Attention au yeux et aux narines, le vinaigre ça pique!
- Remettre le poulet dans la poêle et mélanger pour bien l’enrober.
- Ajouter les arachides et le poivre, puis bien mélanger.
- Servir sur du riz blanc avec un légume vert asiatique, comme des pousses de bok choy.
Plat d’originie sichuanaise, il est particulièrement facile à faire un soir de semaine en rentrant du travail. Un must aussi pour réchauffer une soirée d’automne froide et humide: plus le mercure descend et plus je mets de piments!
5 octobre 2015 at 17:48
quel réussite lâche pas tu est tellement bon